La côte Caraïbes, Puerto Viejo

Puerto Viejo de Talamanca

Village

 

Bureau de jacaranda

 A 300 m du bord de mer, au calme près du terrain de foot et au bord de la jungle, lieu idéal pour jouer du trombone. Ici : le logging "Jacaranda" , décoration des années hippies.


Le jardin

Au fond : coin cuisine pour y faire nos petits déjeuners.

 


La cabane a jacaranda

Super ce cabinas "peace and love"...


A l ecole puerto vierjo au costa rica 1 

Après m'avoir entendu jouer sur la colline, dans la jungle au dessus du terrain de foot, une institutrice m'a fait signe de venir jouer puis chanter "Frère Jacques" dans sa classe ! "Oui, avec plaisir" . Conséquence : il a fallu que je fasse mon numéro dans les quatre classes de l'école ! Ça t'apprendra à faire le pitre!


Just like that


La paillote

Le village ne vit que par le tourisme. Beaucoup de jeunes américains, canadiens, quelques européens viennent surfer et se mesurer aux longues vagues, souvent dangereuses… Nous sommes sur la côte Atlantique dans la baie des Caraïbes à une cinquantaine de kilomètres de la frontière du Panama. 29° tous les jours, chargé d’humidité. En sortant du village, en longeant la mer sur quelques kilomètres, j’ai une pensée émue pour Christophe Colomb qui débarqua lors de son dernier voyage sur ces plages immenses bordées de cocotiers où des singes s’approchent de vous en curieux. Et puis, en rêvant...en marchant des semaines, des mois...on doit pouvoir atteindre le Venezuela, traverser l'Amazone, l'Orénoque, les Guyanes et, le Brésil creuset d'une des plus belles musiques du monde.


Baignade quotidienne

Après l'école...


 

Barierre de la jungle

En bord de l'Océan : une jungle impénétrable.


Singe hurleurUn singe hurleur...


Trombone et guitare

Dans le grand  village  de Puerto Viejo, le reggaeton, le "boum boum" est toujours là. On le subit dès que l'on entre dans un super-market ou dans un magasin de vêtements. Donner l'impression d'être en boîte en permanence : ça doit faire vendre ! Nous, ça nous fait fuir!

Par contre, vers 18h, près de la plage, un bar offre le couvert à des musiciens de passage. Ici, un jamaïcain qui chante le reggae mais qui sait aussi jouer la biguine. Super ! ça, c'est plus dans mes pistons !. Heureusement, on retrouve le calme en s'éloignant du bord de mer et des vendeurs de bibelots et de colliers. Les cabinas, dans un rayon de 300 ou 400 m en bordure de la jungle sont toutes coloriées et noyées dans la verdure. Plus loin, dans la canopée, le silence sera réservé aux conversations des oiseaux et, aux rugissements des singes hurleurs.


 

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